Le terme "Gilets Jaunes" y apparaît dès le premier chapitre (page 14). Dans le roman, ils sont l'un des nombreux symptômes d'un mal plus profond, un révélateur de fracture et de manque de lisibilité des projets politiques.
Extrait:
"Arrivé à La Défense, il contourna un barrage de manifestants bloquant un autopont
avec des pneus en feu. Le rituel se répétait inlassablement depuis des mois,
jusqu’à ce que les CRS délogent les "gilets jaunes" à coup de
matraque et de gaz lacrymogène.
Comme ils n’avaient plus rien à faire, les "gilets jaunes" allaient plus loin, et recommençaient une nouvelle partie de cache-cache urbain... Il y avait souvent des blessés, voire des morts, d’un côté comme de l’autre, mais désormais, cela faisait à peine quelques images pour les 20 heures trop occupés à parler de produits du terroir, du dernier gagnant de la super cagnotte ou des prochaines vacances au soleil à des Français qui ne pouvaient plus se le permettre."
Comme ils n’avaient plus rien à faire, les "gilets jaunes" allaient plus loin, et recommençaient une nouvelle partie de cache-cache urbain... Il y avait souvent des blessés, voire des morts, d’un côté comme de l’autre, mais désormais, cela faisait à peine quelques images pour les 20 heures trop occupés à parler de produits du terroir, du dernier gagnant de la super cagnotte ou des prochaines vacances au soleil à des Français qui ne pouvaient plus se le permettre."
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Le "Gilet Jaune" tout le monde doit en avoir un dans sa voiture, c´est la loi. Cette obligation légale devient signe de ralliement, visuel et économique, serait-ce le nouveau bonnet phrygien des révolutionnaires ?
Le "Gilet Jaune" tout le monde doit en avoir un dans sa voiture, c´est la loi. Cette obligation légale devient signe de ralliement, visuel et économique, serait-ce le nouveau bonnet phrygien des révolutionnaires ?