Le fait que les exportations de gaz depuis l'Azerbaïdjan vers l´Europe aient bondi de plus de 30% depuis le début de l´année y serait-il pour quelque chose ? Il est vrai que lorsque l´on recherche désespérément des fournisseurs de substitution à ses livraisons d´énergie, il convient de ne pas froiser ces derniers en leur rappelant qu´il n´est pas convenable de massacrer leurs minorités.
samedi 8 octobre 2022
Et pendant ce temps-là en Arménie...
Le fait que les exportations de gaz depuis l'Azerbaïdjan vers l´Europe aient bondi de plus de 30% depuis le début de l´année y serait-il pour quelque chose ? Il est vrai que lorsque l´on recherche désespérément des fournisseurs de substitution à ses livraisons d´énergie, il convient de ne pas froiser ces derniers en leur rappelant qu´il n´est pas convenable de massacrer leurs minorités.
samedi 12 février 2022
USA, premier exportateur mondial de démocratie et phare de la liberté.
Les USA nous refont le coup de l´Irak et tentent d´entrainer l´Europe dans un conflit aussi loin que possible de leur pays.
Après avoir mis le Proche-Orient à feu et à sang, en présentant délibérément de fausses preuves devant les membres de l´ONU pour déclencher l´opération "Iraqui Freedom" destinée à "instaurer la démocratie en Irak", ils ouvrent un nouveau front en Ukraine.
Après avoir copieusement exporté leur vision de la liberté "made in US", les armes qui vont avec et leurs soldats en Irak, Syrie, Koweït, Afghanistan... Ils préparent massivement leur opinion à un conflit dans un pays que la plupart des américains ne sont sans doute même pas capable de localiser sur une carte (à commencer par Tonton Biden qui sucre les fraise et évoque l´Iran au lieu de l´Ukraine lors de son discours sur l´état de Union).Qu´importe après tout, puisque ce ne sont pas eux qui recevront ensuite massivement les flots de réfugiés de ces zones de guerre qui ce seraient sans doute bien passé de la bienveillance amicale des USA.
Finalement, l´exportation de la guerre est un busines très juteux pour eux: ils font fonctionner leurs industries, retrouvent des emplois à leurs boys et enfin s´arrogent les chantiers de reconstruction des pays qu´ils ont bombardé. Ce faisant, ils continuent à disperser le chaos loin de chez eux, empêchent les autres blocs de se renforcer et utilisent les migrations de masse comme moyen de désorganisation. Mais que viennent-ils faire aux portes mêmes de la Russie sous couvert de l´OTAN qui n´est que leur instrument de déstabilisation ? Est-ce que les Russes s´amusent à installer une coalition armée au Mexique, au Canada ou à Cuba ?Si l´Europe était aussi forte qu´elle le prétend, cette passe d´arme que nous ne contrôlons pas - ou peu - n´aurait pas vu le jour. Il nous appartient de faire les gardiens de la paix sur notre propre continent et de vider de sa substance l´OTAN, qui n´a plus lieu d´être depuis la disparition du bloc soviétique et du Pacte de Varsovie.
Le seul candidat encore en lice à soutenir cette idée, Eric Zemmour, explique pourquoi il faudrait sortir du commandement intégré de ce "machin" anachronique. De son côté, Emmanuel Macron utilise cette crise dans un but électoral, en espérant que son air martial, ses déclarations solennelles et ses mises en scène, le feront passer pour un chef d´état de dimension internationale sauvant l´Europe de la guerre, après avoir sauvé la France du Covid grâce à sa mémorable gestion de la crise. Le plus pathétique dans cette histoire, c´est l´incapacité de la France à peser sur la situation et à faire entendre la voix de la raison.
Posons-nous quelques questions simples : Pourquoi envisager de faire entrer l´Ukraine, pays frontalier avec la Russie, dans l´OTAN ? Quel état membre s´oppose à cela ? Qui sont ces étranges groupes armés ukrainiens formés par le Canada et l´OTAN ? N´y a t-il pas là des manœuvres délibérées de l´OTAN, sous gouvernance US, pour générer d´inutiles tensions ?
Après l´élargissement de l´OTAN en 2004 à la Roumanie, la Lettonie, la Lituanie et l´Estonie - qui était déjà un "Casus belli" - la tentative d´ouverture vers la Géorgie et l´Ukraine est une véritable provocation.Les USA voudraient semer le chaos en Europe, qu´ils ne s´y prendraient pas autrement. Les accords de Minsk ont délibérément été sabordés dans l´indifférence du bloc de l´ouest. L´atlantisme aveugle n´est pas source de stabilité et nous devrions être beaucoup plus critiques vis à vis des va-t-en-guerre pour qui ce potentiel conflit présente des bénéfices géostratégiques et économiques.
Comme le rappelle Poutine: "Ce n´est pas nous qui avançons vers l´OTAN, c´est l´OTAN qui avance vers nous".
Le Roman Vicilisation :
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jeudi 6 janvier 2022
L´architecture au coeur du roman Vicilisation
Dans Vicilisation - La Chute, le personnage central est un jeune architecte parisien emporté, comme des millions de ses concitoyens, par l´effondrement de la civilisation occidentale. Alors qu´il lutte pour sa survie, il découvre l´ampleur de la catastrophe. La trame romanesque et l´action accompagnent sa prise de conscience et ses réflexions sur l´après-chaos. Quelles solutions pour refonder avec les moyens du bord, alors que le modèle urbain vient de s´effondrer en l´espace de quelques mois ?
Si les villes et les grandes agglomérations ont symbolisé durant plusieurs siècles le triomphe d´une humanité libérée des contraintes de la nature grâce à la maîtrise des énergies, quelle sera la nouvelle architecture de demain dans un contexte de raréfaction, de décroissance non anticipée et de tensions diverses ?Sur les routes de l´exode, l´architecte partage son analyse avec un compagnon d´infortune : "Depuis la nuit des temps, lorsqu’une organisation humaine n’est plus capable de s’adapter, d’évoluer d’absorber les changements, elle périclite. L’architecture qui les accompagne est là pour nous le prouver depuis les troglodytes jusqu’aux gratte-ciel en passant par les pyramides ou les châteaux forts du Moyen Âge… "
L´architecture d´une époque matérialise la manière dont les civilisations ont occupé l´espace en fonction des enjeux, des connaissances et des énergies disponibles. Plus tard dans le roman, l´architecte s´interroge sur la façon de développer et de sécuriser une organisation résiliente, autonome, capable de faire cohabiter des profils de survivants forcément hétéroclites ayant des niveaux de compréhension différents sur les raisons de "la chute".
Peut-être esquisse-t-il ainsi les contours de ce qu´il appelle une nouvelle "architecture sociale" produisant une faible empreinte écologique et une forte empreinte humaine, exactement l´inverse de villes effondrées en quelque sorte.
Et la réponse qui se découvre progressivement au fil des pages n´est pas forcément celle d´une ruralité du passé idéalisée par quelques bobos, ni celle d´une apocalypse à la "Mad Max". Peut-être existe-t-il un chemin entre ces deux horizons ?
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mardi 7 septembre 2021
Inutile de lire le rapport du GIEC
- Changer d´échelle : Ne pas attendre une solution divine globale et se retrousser les manches pour les résoudre à son niveau participe à la création d´un bien-être immédiat peu sensible aux contingences politiques. A votre échelle vous êtes tout à fait capable de produire une réponse au travers de la rénovation ou de la construction d´un habitat durable sans attendre des incantations globales sans effet. Le temps de réflexion et de mise en œuvre sont généralement longs. Comptez un minimum de 2 années entre l´achat d´un terrain, la conception des systèmes autonomes, les plans, la construction et la remise des clefs.
- Être acteur de sa transition: Concevoir un projet immobilier de transition résilient prenant en compte les enjeux climatiques et l´autonomie permet de totalement inverser le sens de résolution des problématiques : vous n´attendez plus rien (à court terme) des politiques globales et vous développez pour votre famille une solution dont la valeur dépasse largement celle de son usage immédiat. Car un habitat moderne capable de produire sa propre électricité, sa nourriture, son gaz dispose d´atouts considérables en cas de rupture temporaire ou durable de la normalité.
samedi 2 janvier 2021
Apprendre à vivre avec l´incertitude ou secrètement espérer continuer à acheter des certitudes ?
Est-ce un effondrement temporaire ou durable ? Les nombreuses interrogations à ce sujet révèlent aussi en arrière-plan un questionnement existentiel sur le futur format de l´après-crise alors que certains fondements philosophiques et sociétaux sont bousculés, levant le voile sur d´autres possibles.
Avec cette crise globale du Covid-19, nous passons d´un paysage connu de plaines à perte de vue, à un paysage montagneux se découvrant derrière chaque escarpement. Notre tendance naturelle pour les habitudes pourrait nous faire regretter le doux compromis des plaines, offrant une vision à 360 degrés sur le monde environnant, à celui d´un monde à découvrir fait d´horizons plus proches rendant difficile la planification.
Le temps, lui aussi est impacté. En quelques mois à peine, nous sommes passé de la planification à moyen ou long terme, à la prise de décision à court terme et à la navigation à vue pour tous. Sans conviction et imagination, il devient compliqué de faire des plans se déroulant sur de longues périodes, alors que notre modèle est notamment basé sur la gestion d´aléas acceptables.
Gageons que l´avènement de ce local forcé, voulu par certains et subi par d´autres, permettra néanmoins de réinventer une expansion raisonnée, non pas sur une néo-ruralité idéalisée, mais sur un modèle hybride prenant le meilleur des deux paradigmes. Alors, est-ce que ça va durer ?
mercredi 13 mai 2020
Version anglaise : Vicilization - The Fall - Book one
mercredi 18 mars 2020
A l´heure du Covid, et si on évitait les livraisons ?
mercredi 31 juillet 2019
Charles SANNAT - INSOLENTIAE à propos de VICILISATION
Aujourd´hui les Banques Centrales soutiennent l´illusion d´un modèle basé sur le dogme de la croissance sans fin en créant une dette absolument irremboursable (afin d´échapper au surendettement !).
Nos choix de vie (et de consommation) créent de plus en plus de conflits énergétiques, alimentaires et environnementaux. A leur tour ils alimentent des tensions politiques, culturelles, migratoires et religieuses. Et comme Charles le décrit souvent, ce n´est sans doute pas le "progrrrèèèès" qui nous sauvera de la raréfaction des principales ressources sur lesquelles nous sommes en équilibre précaire. Coupez l´electricité, le pétrole et fermez les supermarchés. Que se passera t-il ?
jeudi 7 mars 2019
Vous n'êtes pas important...
En quelques décennies, le téléphone mobile a conquis la planète. Avec plus de 7,2 milliards d'habitants dans le monde, le taux de pénétration de cette technologie atteint désormais 93%. Le nombre d'abonnements souscrits sur le globe devrait "bientôt" dépasser celui de la population mondiale. Désormais la technologie est présente en tous lieux avec vous dans votre poche et sur votre table de nuit avec quelques conséquences sur votre vie privée.
Les récentes révélations sur les piratages de masse et sur les écoutes généralisées (et institutionnalisées) font surgir des interrogations sur l'utilisation de nos données personnelles et sur les buts de ceux qui les interceptent.
PS: Les mots clefs contenus dans ce modeste post à vocation pédagogique pourraient par exemple déclencher une identification, puis un traitement automatique du document, qui sera éventuellement escaladé à un humain si le contexte le justifie. Dossier créé, archivé pour croisement ultérieur avec d'autres "événements" si nécessaire... Ah non j'oubliais, je ne suis pas important ;-)
dimanche 25 novembre 2018
Les Gilets Jaunes, symptôme d´un modèle à bout de souffle ?
Le terme "Gilets Jaunes" y apparaît dès le premier chapitre (page 14). Dans le roman, ils sont l'un des nombreux symptômes d'un mal plus profond, un révélateur de fracture et de manque de lisibilité des projets politiques.
Extrait:
Comme ils n’avaient plus rien à faire, les "gilets jaunes" allaient plus loin, et recommençaient une nouvelle partie de cache-cache urbain... Il y avait souvent des blessés, voire des morts, d’un côté comme de l’autre, mais désormais, cela faisait à peine quelques images pour les 20 heures trop occupés à parler de produits du terroir, du dernier gagnant de la super cagnotte ou des prochaines vacances au soleil à des Français qui ne pouvaient plus se le permettre."
Le "Gilet Jaune" tout le monde doit en avoir un dans sa voiture, c´est la loi. Cette obligation légale devient signe de ralliement, visuel et économique, serait-ce le nouveau bonnet phrygien des révolutionnaires ?
mardi 1 décembre 2015
jeudi 26 novembre 2015
Exporte démocratie contre terrorisme...
Libye - Avant - Après |
En effet, il importe surtout de traiter les causes structurelles moins visibles qui ont permis l’émergence de ce monstre protéiforme insaisissable qu’est l’EI. Nous sommes dans une « guerre asymétrique » contre un ennemi diffus qui n’est pas qu’en Irak et en Syrie. A part quelques drapeaux sur des pick-up ou au sommet d’une colline, nous n’avons pas affaire à une organisation qui a les moyens d’afficher des cibles aussi visibles.
Dans le chaos actuel, vue du ciel, quelles sont les capacités de la France a identifier des cibles indépendamment de celles que nous fournissent les USA ? Si cela est avéré, pourquoi ne bombarde t-on pas nous aussi les convois de camions citerne transportant du pétrole hors de Syrie au travers de la Turquie (!) tels que décrit par le Président Poutine dans une conférence dont on n'a pas entendu parler dans les médias mainstream ?
Il suffit de connaître un peu l'histoire pour savoir que cette offensive "conventionnelle" n’aboutira pas aux résultats escomptés comme le prouvent l’ensemble des opérations militaires internationales conduites dans la région depuis des années, et malgré les millions et la technologie engloutis dans la fournaise.
Notre politique étrangère devrait donc être revue, non pas à l’aune des enjeux économiques que représentent la vente de Rafales au Qatar, la non-vente de portes hélicoptères à la Russie, la remise de la légion d'honneur à un Roi Saoudien (Edit du 20/03) ou bien encore le prix du carburant à la pompe… mais plutôt selon notre capacité à identifier nos ennemis en amont avant de les accueillir à l'Elysée, à mettre en place une politique énergétique de transition, à réaffirmer les convictions et la voix de la France comme un pays souverain.
Des décennies d’errance diplomatique, de compromis divers au nom de l’intérêt supérieur de la nation et de ses multinationales nous ont éloigné de nos idéaux.
Aujourd'hui, l’effondrement de la région est consommé et le retour "à la normale" semble assez improbable à brève échéance. Pourtant, si nous voulons que les réfugiés rentrent volontairement chez eux un jour, il va bien falloir aider à rendre la région plus sûre et là, personne ne semble vraiment avoir de solution pérenne, à part attiser plus encore les flammes, ce qui ne devrait pas améliorer les conditions de vie des civils sur place dans l'immédiat...
Frapper des objectifs stratégiques tels que des convois ou de raffineries c'est taper directement au portefeuille et cela semble assez efficace. Mais tenter de frapper des cibles en plein centre-ville au prétexte que nos bombes sont précises, c'est alimenter un nouveau cycle de violence sans fin.
dimanche 25 octobre 2015
samedi 24 octobre 2015
"Comment tout peut s'effondrer" Pablo Servigne et Raphaël Stevens
S’il était possible de résumer cette convergence en une seule phrase, je dirais que nous sommes d’accord sur le fait que « c’est sans doute la fin du monde tel que nous le connaissons, mais que ce n’est pas la fin du monde pour autant ».
La fin programmée du monde connu ne signifie pas pour autant la fin du monde tout court (sauf modification climatique radicale rendant le vie sur terre impossible), mais potentiellement la résurgence de nouvelles pousses sur des formats qui restent à définir.
Et c’est là une des premières difficultés de la démarche, car elle implique de préalablement « renoncer à l’avenir que nous nous étions imaginé » (les auteurs parlent d’ailleurs de démarche de « deuil »). Accepter l’idée que le monde de demain ne voit pas le triomphe annoncé d'une humanité en lévitation, c’est effectivement renoncer à d’indiscutables et saintes certitudes pour admettre que le futur ne ressemblera pas forcément à ce que les trois générations actuellement en vie avaient acheté dans le catalogue de l’utopie croissante.
L’autre difficulté consiste à imaginer ensuite de quoi sera fait demain… Dans ce domaine, nous nous heurtons à la fois à des comportements personnels tels que le déni face à l’évidence qui grossit, mais aussi à notre incapacité à être collectivement inventifs, à sortir des schémas actuels (industriels, agricoles, énergétiques, sociaux, politiques…) pour essayer de concevoir des solutions plus pérennes et résilientes.
Le travail de ces auteurs vient s’ajouter aux nombreuses alertes déjà lancées par d’autres illustres prédécesseurs œuvrant dans des disciplines variées (Meadows, Giec, Tainter, Roagen…), mais dont les approches convergent toutes vers une même conclusion : l’effondrement total ou partiel (en mosaïque) de la civilisation occidentale consumériste est certain, mais des interrogations demeurent encore sur la « chaîne causale » qui conduira nos systèmes complexes à se dérégler, puis à basculer vers des comportements difficiles à prévoir dans le détail.
Face à la froideur des chiffres, des révélations ou des confirmations qu’apportent les auteurs (prévoyez un soutien psychologique ou SOS amitié ! ;-), je retiens néanmoins un message positif dans cet ouvrage :
L’histoire nous apprend qu’en temps de crise, la majorité des individus sont à la recherche de sécurité avant tout, et sont bien moins enclins à la violence parfois décrite par l’industrie du cinéma post-apocalyptique. « Les comportements de compétition et d’agressivité sont mis de côté (…) Comme si des conditions extraordinaires faisaient ressortir des comportements extraordinaires ». (…) Invisible en temps normal, ces mécanismes de cohésion sociale très puissants permettent à une communauté de renaître d’elle-même après un choc en recréant des structures sociales… »
Le propre de l’humanité depuis la nuit des temps est de collaborer dans la recherche de solutions face à une situation critique. Il se trouve simplement que notre capacité à collaborer aujourd’hui est perturbée par la taille d’institutions et de dispositifs qui ne sont plus à taille humaine. Le gigantisme des chaînes de commandement et leurs complexités défient souvent la logique. Notre modèle politique et social actuel centralisé, planificateur, technocratique, démocratiquement déficitaire, parfois corrompu… est inadapté à la recherche de solutions locales à taille humaine.
vendredi 27 février 2015
Le scénario de "La chute" selon Dennis Meadow
"Il y a deux façons d’être heureux : avoir plus ou vouloir moins. Comme je trouve qu’il est indécent d’avoir plus, je choisis de vouloir moins."
Les deux tomes de Vicilisation sont sur le podium des ventes chez Amazon !
"La Chute" (Tome 1) et "Refondation" (Tome 2) sont classés dans le Top 3 des meilleures ventes sur Amazon. Les deux rom...
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Soyez les premiers à être informés de la sortie du Tome II de Vicilisation. Une suite logique du Tome I, qui peut cependant se lire indépend...
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Les USA nous refont le coup de l´Irak et tentent d´entrainer l´Europe dans un conflit aussi loin que possible de leur pays. Après avoir mis...
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En annexant l´Ukraine, la Russie ne s´est pas mise en position de donner des leçons à ses alliés et de jouer son rôle historique de modérate...